Une longue nuit à la necropole

Un arome de drame, un zéphir de folie, un palpitement de haine.
Ce fut l'ambiance de la necropole ce soir la.

J'etait dans ce qui ete censé etre ma chambre.
Ce soir la les rayon de la pleine lune passait par là où il manquait des pierres dans le mur effrité.

Ce fut la premiere fois que je regardait atentivement le sol de cette piece.
Plusieur squellette jonchait le sol. Rien de trés frappant, mais l'un d'entre eux tenait plaqué contre son torse, un bouquin.

Sana trop tardé j'ecartait le bras du mort, et saisit le bouquin qui partit en poussiere au contacte de mes griffes, tout le livre, sauf une note qui ete logé au milieu de la poussiere.

Rien n'etait noté dessus, cela me semblait bisare, je la mit a la lumiere de la lune pour en etre sûr.
A ce moment là des ecriture, que j'etait apte a lire apprurent.
Je lisait alors ce qu'il y avait marqué.

J'y apprit enormement de chose, comme l'existance de plusieur masque magique comme celui qui je cherche. J'apprit aussi que la moitié de masque que je cherchait se trouvé dans la necropole.
D'aprés la date ecrite en haut de cette ecrit que depuis ma disparition environ 300ans c'etait ecoulées.

Un post scriptum ce trouvait en fin de texte, quand je le lut, le texte ce mit a brillé, puis a se consumé.
Enfin un trou se fit dans le plafond, une aureole de lumieres de lune ce faufilla dans le trou.
Au milieu de cette lumiere, une presence apparue.
Un silhouette angelique, de longue aile blanche et pure faite de blanc.

Saucar! je suis Azardiel! ange moissoneur d'âme, ton âme est impure! tes intentions son impure, je vient cherché ton âme afin de la detruire!!

Un sourir mesquin se dessina dans le coin de mon visage

De quelle âme parle-tu?

La tienne!! Tu est devant un ange, et tu trouve le moyen d'etre insolent!!

L'ange se signa d'un signe de croix, avant de murmuré une incantation qui etait censé extirpé l'ame de mon corps.
Il ne cessat de repeté cette incantation, sans reussite.

hum...Je vais devoir te tué alors je t'aracherai le coeur!!

Mon sourire mesquin s'agrandit

Un coeur? où ca?

L'ange ne repondit point, mais je sentis son enervement.
Il se rua vers moi main en avant.
Sa main dechira ma peau et mon peu de chair, pour traversé et troué mon omoplate gauche.
Je sentis une vive douleur, qui me mit a genou sur le champs.

Quelle est cette creature!!! sans coeur ni ame!!!

Apelle moi juste Saucar. Pour te servir

Je me relevait, le sang coulait abondament le long de mon corps.
Je me dirigait lentement vers cette "ange moissoneur d'ame".
Il ne bougeait point croyant avoir rien a craindre de moi.

Dit moi? où est l'autres moitié de mon masqe?

Est-tu vraiment en position d'exigé quelque chose de moi sale vermine?

Je tournai autour de lui, m'arreta dans son dos, je caressait une de ces ailes, elle etait si soyeuse, si douce.
Je mit ma main doucement sur l'osature qui reliait les ailes au restes du corps. Je brandit mes deux main dans les aires, pour les abatres sur cette os, que j'archachait sur le champ. L'ange tomba au sol ensanglanté.

J'atend!

ARGH!! Il est au plus profond de cette necropole!!

L'ange disparue et l'halo de lumiere en meme temps.

Son indication etait bien plus que suffisante

Donc, un sous-sol devait bien existé dans cette nécropole, mais où?
Je ne connaissais que trop bien la nécropole, et je ne voyais pas où pouvait se trouver cette misérable entré.
Je restait là affalé contre le mur à réfléchir.

Rien, aucune idée. Dans un élan de colère contre moi même, j’élançais mon poing afin de l'abattre contre le mur. La pierre sur laquelle j'avais frappé s'était décalé des autres, elle avait été ajoutée par quelque chose ou quelqu'un pour dissimulé je ne sait quoi.
Je décidait de retiré la pierre de son orifice pour y découvrir un levier, sans réfléchir je l'actionnait.

Le sol s'effondra sous mes pieds. Je dégageait alors mon corps du tas de gravât que l'éboulement avait provoqué.
Un long couloir s'ouvrai a moi, cependant pas de lumière, je ne voyait rien. J'avançais alors, doucement, tâtonnant les parois rugueuse du mur, qui lui était en parfait état.
Dés le 1er pas que j'avais fait dans le couloir, je pus voir dans ce couloir, pourtant aucune lumière ne s'était allumé.
Je l'avais remarqué mais ne m'en souciait pas.
En avançant, je compris que plus je m'enfonçait dans ce couloir, moins j'avais de chance de revenir, mais je continuait.
Soudain un choix s'offrit a moi, droite, gauche?
Je pris la droite sans savoir vraiment pourquoi.

Je suivit le couloir, de moult fois le même choix s'offrit a moi, mais j'avais décidé d'allé tout droit cette fois, toujours tout droit.
Plus j’avançais, plus l'ambiance était oppressante et lourde.
Des petits ricanements de diablotin résonnaient dans ma tête, mais de telles créatures n’étaient pas ici. Ma vision se troublait, mes pas lourd et décadent, tout cela me rendait fous, mais j'avançais.

Quand je reprit mes esprit j'était dans une immense salle, en son centre un cercueil de pierre, d'après la personne gravée sur le dessus, dedans devait gire une puissante sorcière. En plus de mon masque j’allais trouver un puissant équipement.

Je poussais le bloc qui servait de couvercle. Je découvris dedans un banal bâton noir surmonté d'une tête de serpent d'obsidienne. Mais pas de cadavre. Je saisis le bâton, au moment où mes griffes se refermèrent sur son manche, une chose incroyable se produit.

Je fus la victime de Flash, le bâton semblait vivant, je revivais son histoire.
Des massacres de paysan, de gnome, de monstre en tout genre, le propriétaire de ce bâton était un véritable assassin.
Plus les flashes passèrent, moins je comprenais.
Moins je comprenais, plus ma tête semblait perdre le peu de raison qu'il me restait.

Le bâton me glissât des mains, a se moment là je crut être victime d’hallucination, le bâton était devenue énorme et se mouvait tel un serpent.
Lorsque le bâton se mit a m’enroulé je mettait rendue compte que c’était pas un hallucination, le bâton s’était bien transformé en serpent.
Le regard de la bête était terrifiant, pour la 1er fois de ma vie je ressentis de la peur, j’était terroriser, il aurait suffis que la bête le décide pour me gobé sur le champs.
Ma peur aurait pus se sentir mille lieux à la ronde, le serpent semblait se réjouir de cette peur. Ma peur arriva à son apothéose quand le serpent m’adressa la « parole ».

Encore une vermine… Mais tu me semble différent, ton auras ténébreuse ma subtilisé a la mort. Je vais t’accorder une dernier volonté avant que je brise le moindre de tes os et prenne possession de ton corps

Je secouait ma tête me disant : * Je fait quoi là ! Moi, avoir peur d’un vulgaire serpent.*

Mon regard apeuré se transforma en regard à la limite entre la folie et le courage. L’attitude du serpent changeât avec se regard, la peur dont il se nourrissait été partit.
Pour accentuer le tout j’affichais un petit sourire en coin avant de lui adresser la parole.

« Hum, la vermine te demande ton nom… Nan je sait, tu est Sikmat, grande sorciere au service de ce que tu peut appelée mal.
Tu a été enfermé dans ce serpent, puis dans le bâton par un grand magicien du bien… Comme tu voit je sait tout de toi ! La peur que tu a pus lire dans mon regard n’était que passagère…

Après ces quelques parole le serpent se mit a me compressé

Ces informations ne te seront bientôt d’aucune utilité piètre Saurus.
Saucar c’est ça ? Mort puis ressuscité, à la recherche de pouvoir illimitée.

Hum… Je vois que je ne suis pas le seul à avoir eu ces flashes, donc j’ai vue ta vie et toi tu a vue la mienne. Accorde moi ton pouvoir et je t’accorderai la peur dont tu te nourrit. Toi et moi nous semerons la peur l’un pour l’autre, qu’en dit-tu ?

Ma foi, ta proposition me convient grandement.
Je t’accorde mon pouvoir, c’est bien parce que tu est le seul a pouvoir comprendre mon langage

A peine eut-elle finit de prononcé ces mots qu’elle avait reprit la forme du bâton noir d’obsidienne. Je ramassait alors naturellement le bâton et continuait ma route pour trouver l’autre moitié de mon masque.

J'était là, scrutant chaque recoin de la pièce... Si l'ange disait vrai l'autre moitié de ce que je cherche ne doit pas être bien loin. Si seulement je le trouvais, je pourrais tuer cette sangsue aux allures frêle mais qui m'avait pourtant vaincue... Difficile de l'admettre mais tel étaient les faits.
Mais cette salle était vide, même le tombeau au centre de la pièce avait disparue, où? Je ne le sais...
Je m'avançais devant le mur du fond qui se dressait devant moi, plus je m'en approchais, plus je sentais un courant d'air glacer mes pieds...
Il devait y avoir une pièce derrière, seulement le mur était solide, même avec mon meilleur sort je ne pourrais le détruire ou même le fissurer... Sikmat n'y pourrait rien non plus.
Un mur m'empêchait d'atteindre mon but... Jamais je n’aurais cru qu'un mur aurait fait échouer mon plan.

Plein de désespoir je m'appuyait dos a ce mur me laissant glisser jusqu'a ce que mon derrière touche le sol. Un grondement et mon dos n’était plus appuyé sur le mur. Le mur s'était dérobé, j'avais du activer un mécanisme, espérons que le masque soit dans cette seconde pièce.

Je me relève, me retourne, mon regard se fixe sur la relique que je convoitait. Une atmosphère étrange régnait, la relique semblait avoir un pouvoir maléfique, qu'importe il fallait que je m'en saisisse.

Je tend la main, la saisit la contemple quelque seconde... La fixe à coter de son autre moitié... Aucune réaction...Ensuite une douleur qui ne fait que grandir. Mon visage semble brûler, ma chair fondre, mes os se disloquer. En fait le masque était en train de s'encrer en dessous de ma peau écailleuse.

Je me roulais par terre comme pour estomper la douleur, fermait les yeux comme pour ne pas voir ma chaire tomber en morceau sur le sol.
Petit à petit la douleur s'arrêta, quand je me suis relevé tout était noir... Il ne semblait pas y avoir ni d'entrer, ni de sortit dans cette pièce, qui ne semblait même pas être une pièce...

Un petit Saurus était là assis sur le sol, tenant ça tête dans ses mains pleurant... Je m'approche de lui... je lui dit:

Qui est-tu?

*Snif*... Tu ne te reconnaît même pas...*Snif*

Il disparue... Et au meme moment plein de Saurus apparurent devant moi.
Le plus en avant d'entre eux m'adressa la parole.

Tu viens de te voir étant jeune Saucar... Ici et maintenant tu va devoir faire un choix... ce choix déterminera tout ton avenir...

Quel choix? Où suis-je? Qui êtes vous?

Tant de question trenait dans ma tête mais j'eut le temps que de dire ces trois là avant qu'il ne reprenne la parole.

Tu est dans les méandre du temps Saucar, et nous, moi, eux sommes des représentant de ta personnalité, d'habitude nous vivons en harmonie dans ton corps... Mais ce masque, prend trop de place dans ton âme, il y a de la place que pour un seul d'entre nous dans ton âme... Et tu vas devoir choisir, lequel d'entre nous restera...

Il fallait donc que je fasse un choix, ce masque avait donc tant de pouvoir qu'il allait changer toute ma personnalité... Mais comment savoir qui était qui... L'un d'entre eux fit un pas en avant...

Je me présente, La folie... Si je ne me trompe tu cherche le pouvoir, Grâce a moi tu pourras exploiter complètement tes nouveaux pouvoir, je t'explique. Le pouvoir est telle une bierre donnée par le tavernier au nain, le masque est la bière, tu es le nain, je suis le tavernier!
Je croit que tu est assez intelligent pour faire ton choix maintenant

Un autre reprit.

Il n’a pas le droit! Il a dit qui il était, c'est interdit par le règlement! La raison, fait donc quelque chose!

C'est trop tard... Il a déjà fait son choix...

En effet La folie était très convaincante, ce qu'elle avait dit avait suffit a m'attirer vers elle... alors je fit mon choix... Quelque temps plus tard je me réveillais dans la salle ou j’avais trouvé l'autre moitié du masque...
Je n’étais plus la même personne qu'avant... La folie avait prit place dans mon âme... J'aperçue La raison devant moi et me dit ces quelques phrase avant de se volatiliser a jamais de mon esprit, où alors justement elle m'était apparue parce que elle avait réussit a se faire une place... Qui sait...

Elle est belle, elle est charmante,
Tout le temps attirante
Tes rêves elle te les arrange
Mais se ne sont que des apparence
Par la suite elle te promet
Ne te donne que la moitié
Elle prend tes rêves, les mets dans un boîtier
Elle a couché avec le monde entier
Quand elle te donne elle reprend toujours ça comme
Elle connaît le coeur de chaque homme...

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