Le reveil d'un mythe

Il était très tard cette nuit là. Tout les gens dormaient en cette heure tardive. Mais comme toute chose il y avait des exceptions. Deux petits garçons jouaient à se faire peur, ils avaient attendu la nuit avec impatience et avaient préparer une fugue toute réussie puis-ce qu’ils se trouvaient dehors au point de rendez-vous. Alors que la lune était pleine laissant passez son reflet à travers le lac auquel les deux jeunes inconscients s’étaient attendus, des chant sinistres effacèrent le silence, le chant des corbeaux accompagnés du sifflement du vent occupait un orchestre parfait pour une nuit de terreur. Alors qu’ils voulaient commencer en se racontent des histoires d’horreur, deux jeunes filles vint rejoindre les deux garçons qui avaient déjà préparer un feu de camp dans l’herbe humide. A présent tous armés pour être à l’écoute des uns et des autres, ils s’assirent sur de petit tronc entourés autour du feu pour être installé plus ou moins confortablement. Quand l’attention fut porté sur le petit roux du groupe qui voulait absolument commencer, plus un son sortit de la bouche des autres.

«Vous êtes prêt les gars ? bon… » Le jeune garçon souffla deux fois rapidement sur ses mains pour s’échauffer avant de raconter son récit.

« Il était une fois trois jeunes enfants… » commença le rouquin.

« héhé, il était une fois sa fait plus conte de fée.. » coupa l’autre garçon qui était penché en arrière, prenant appui sur ses deux bras tendu en arrière, touchant l’herbe froid.

« Ta gueule Hermand ! » s’exclama une des filles qui ne supportait pas la coupure de parole.

« Bon, bon » s’excusa ironiquement le jeune garçon.

« Je peux reprendre ?» demanda le rouquin exaspéré par l’attitude de ses camarades.

« Oui, je t’en prie. » lui répondit la jeune fille qui n’avait pas encore parler.

« Merci. Dans une foret des plus sombres, trois jeunes enfants se promenait, l’uns d’eux s’appelait Hermand. » Le garçon appelé Hermand balança sa tête de gauche à droite faisant comprendre qu’il trouvait l’histoire naze, ce qui n’empêcha pas le roux de continuer, ignorant les pitreries de son jeune ami. « Le deuxième Keaven et le dernier William. Ils ignoraient le danger qui les attendaient en se réfugiant dans cette foret. Au bout d’un quart d’heure de marche, ils se retrouvèrent face à une cabane abandonnée…. »
« Ho how !!! Je vois que tu connais cette histoire, remarque sa m’étonne Cletonne. » venait de couper une nouvelle fois son ami. Les filles poussèrent des soupirs d’agacement tendit que cletonne restait serein plissant les yeux en regardant son ami.
« De quoi tu parle, je viens de l’inventer. » Hermand qui s’était mit dos a eux fit volte face et regarda son ami droit dans les yeux en lui disant d’une voix peu réconfortante.
« Etrange car le commencement ressemble fort à une histoire réel qui sait passé pas loin d’ici. S’était l’histoire de justement trois gamins qui se baladaient dans la foret et paf disparut ! Après être entré dans une cabane abandonné, dissimulé derrière les arbres mort sans feuille. Cette histoire, elle sait passé dans cette foret, à coté du lac auquel nous parlons ! » un frisson parcouru les épaules de ses trois camarades, une des filles qui avait un de ses sourcil relevé lui répliqua. « Et comment tu sait sa, toi ! »

Le jeune garçon profita de la concentration de ses camarades pour jouer l’homme qui a peur de rien et dit après un rictus biais. « Voyons, vous ne lisez jamais le livre des légendes du village. »
« Des sornettes !!» s’exclama le roux.
« Et pourtant… » dit une fille a la surprise de tous.
« Quoi ? Toi aussi tu la lus ? » Demanda Hermand surprit et satisfait à la fois.
« Oui, je l’ai lus mais je n’ai plus jamais osé lire une seul histoire de ce livre, il m’empêchait de dormir… » dit la fille attrapant une couleur rosâtre gêné par ses dires.
Une minute de silence laissa les quatre compères dans la réflexion,… Jusqu’au moment ou Hermand reprit la parole. « J’ai une idée… On n’a qu’a essayer de trouver cette cabane histoire de ce foutre vraiment les jetons et puis réaliser que s’était un bobard ! »

Les autres restaient muets, ils ne savaient quoi faire.
« Allez, vous n’allez pas faire vos chochote, je vous croyais plus dure que sa ! Franchement pour des sois disant peur-de-rien, je vous trouves peur-de-tout. » essaya d’influencer Hermand, voyant que les trois autres restaient passif, il rajouta pour les encourager un peu plus « en tout cas vous pouvez faire les malins à en parler mais dès que vous êtes confronter à agir vous ne faite rien ! » dit il d’un ton moqueur.

Il soupira a l’insu de ses compagnons et tout en se dirigeant vers la foret il finit par leur dire « couilles-molles. »
Sachant que ce mot les frapperaient bien fort au point de les faire changer d’avis, Hermand ralentit le pas pour qu’ils puissent le rattraper.
Une fois ceux-ci arrivé a proximité, il leurs dit. « C’est bien les gars, vous voyez quand vous voulez... »

Le quart d’heure suivant il traversait la foret à la recherche de cette cabane et par le plus grand des hasards, enfoncer loin du chemin traversant le centre de la foret, la cabane était bien là laissant les autres frissonner devant son air sinistre. La fille qui ne voulait plus rien entendre du livre se mit a pleurer et demanda pour faire demi-tour. Hermand pour rajouté une couche lui dit. « Attend, nous n’avons pas fait tout ce chemin pour rien en plus, nous avons mis un quart d’heure exactement comme les trois enfants. »

« Faux !!! » hurla la fille pour se consoler.

Hermand toujours au sourire narquois lui dit « Chutttt ! Tu va réveiller l’esprit ! »
La fille plaqua sa main devant sa bouche comme si elle avait gobé les histoires d’Hermand. Le roux se mit cette fois a rire de bon cœur mais la dernière fille paressait inquiète, depuis son arrivé elle n’avait pas lâcher d’un œil la fenêtre de la cabane et tendit qu’Hermand la voyant lui dit « Hé ! Ta vu un fantôme ! » La fille lui rétorqua « Justement ! J’ai vu quelque chose bougé a l’intérieur ! » La fille terrorisé l’était encore plus et s’approcha de sa copine avant de se cramponner a son épaule « Lise, si tu savait comme j’ai peur, partons. S’il te plait »

« J’aimerais bien Ane mais tu sais comment est Hermand, il ne déclara pas forfait tant qu’il n’aura pas eu ce qu’il voulait. » essaya de réconforter sa copine.
« Mais on s’en fou de ce crétin ! » dit Ane qui n’osait même plus regarder la cabane, laissant sa tête appuyé sur l’épaule de Lise.

«Je vais rentrer et y jeter un coup d’œil » dit Hermand dans un murmure.

Une fois rentrer, les autres attendaient avec impatience, certain l’appelait à voix haute pour être sure qu’il allait bien. « Hermand ?! » Mais rien, seulement la réponse du vent qui sifflait avec colère. Le vent s’arrêta laissant cette fois un lourd silence trop pesant pour Ane qui tira le bras de sa copine dans l’espoir que c’elle si la suivent mais Lise résista, elle voulait avoir des nouvelles d’Hermand qui n’était pas ressortit depuis 5 minutes.

« C’est pas normal »s’exclama le roux tendit qu’un grand « BOUH !!! » retentit de la cabane avant que la tête d’Hermand souriante soit visible derrière la fenêtre poussiéreuse.
« Tes vraiment qu’un gros con ! » hurla Ane « j’ai faillit faire une crise d…. »

Les trois jeunes qui étaient rester dehors semblaient terrifié, leurs grand yeux ébahit laissa Hermand perplexe. « Vous me faite marchez, désolé mais avec moi sa ne prend pas ! »

Derrière Hermand, une tête blanche non loin du bleu comme un mort noyé le regardait de ses yeux vide. Les autre le voyaient de dehors mais Hermand croyait qu’il s’agissait d’une bonne blague.

« Hermand ….tu…tu »N’arrivait pas a dire Lise a présent dans le même état de choc que Ane voir pire.

Le roux venait de tomber a terre sur ses fesses, sous la peur ses jambes avaient tellement tremblées qu’il avait finit par perdre équilibre jusqu'à tomber. Les deux filles reculèrent a petits pas sous l’effet de la panique, la chose se tenant derrière Hermand qui était de la taille d’un homme tendit sa main vers le jeune garçon encore inconscient de sa présence, voyant ses amis, ils comprit qu’il fallait être de fabuleux comédien pour jouer une tête aussi apeuré. Hermand avait réellement peur, il avala sa salive si lentement qu’un son de ravalement se fit entendre et au moment ou il se retourna la chose se jeta sur lui ! La fenêtre poussiéreuse laissa place a une giclé de sang faisant hurler les autres adolescents ! Ceux-ci ne virent guère autre chose ils s’étaient mit à fuirent à toute jambe hurlant de terreur ! Avec leurs courses ils subissaient des coups de branches sur le corps et même des fois sur le visage mais leurs pieds avançaient tout seul ne réalisant même pas les coupures que leurs causèrent les ronces.

Dans la cabane, la chose qui avait les canines enfoncées profondément dans la gorge d’Hermand jusqu'à la glotte semblait se revigorer, son teint pale devint légèrement plus coloré et des cheveux lui poussèrent sur la tête qui était quelque instant auparavant chauve dénudé du moindre poile. Ses yeux recouvert que d’un voile blanc laissèrent apparaître une prunelle grise a chacun d’eux, le reste du corps de ce personnage semblait reprendre vie, un mythe venait de revenir par mis les mortels… Cronose le lycanthrope, une légende qui n’aurait pas dut être réveillée.