BG: Loops-Onuha

Approchez, approchez donc!!! L'histoire du centaure Loops va vous être conté.

Comme vous le savez je me nomme Loops. Avant de devenir un marginal je menais une petite vie paisible comme guerrier dans un petit village de centaures dans un lointaine forêt. Nourris, logé, une bonne paye et toute les femmes que je voulais, en ma qualité de capitaine. Je n'avais qu'une ambition, devenir le guerrier le plus fort de mon village pour un jour remplacer mon seigneur. Etant depuis enfant doté d'une nature calme et réfléchie, ma vie semblait toute tracée.

Mais il vint un jour où ,lors d'une mission d'escorte de mon chef vers un autre village, mon groupe de guerriers vint à être pris en embuscade par une compagnie de chasseurs, recherchant des centaures pour leur semence, dîte aphrodisiaque. Le combat fût long et pénible. Les hommes prenait le dessus par leur surnombre. Un cri retentit derrière moi. Je vis la pointe d'une flèche dépasser de la poitrine de monseigneur. Pris d'une rage incontrôllable, je perdis connaissance.

A mon réveille je fût tout d'abbord surpris d'être encore en vie. Puis après m'être levé, ce que je vis m'étonne encore d'avantage. Tous les hommes étaient mort et j'étais le seul survivant centaure.Je m'assis pour réfléchir et remarqua mon épée, brisée. La pointe cassée encore enfoncé dans le ventre du chef des chasseurs: L'assassin de mon seigneur! Je ne comprenais pas. Je n'avis aucun souvenir d'avoir tué cet homme, or ce la ne pouvais être que moi, car l'instrument de sa mort était mon épée. Cette épée fogé par le peuple nain en mon honneur et en ma présence pour que je sois le seul à pouvoir la manier.

Essayant de me rappeller quelque chose, je me concentrait fortement, lorsqu'une voix résonna dans ma tête:

"Me voila enfin réveiller,
On ne pourra plus me calmer.
A partir d'aujourd'hui,
turesteras en vie,
Grâce à la force de nos bras,
Car serais toujours avec toi."

"Qui es-tu?"

"Je ne suis que ton humble double, Onuha, pour te servir et t'ennuyer."

"Comment ce fait-il que tu ne te réveille que maintenant."

"La rage provoqué par la mort de ton abruti de chef, m'a libéré. J'ai pû prendre possesseion de notre corp. Et enfin , n'ayant aucun scrupule, J'ai pû déployer notre force à son maximum. Toi qui est trop gentil tu nous affaibli."

Dans l'incapacité de retourner chez moi aprés l'échec cuisant que je reçu, je choisi l'exil, avec mon nouveau compagnon, Onuha.Après un long voyage je me rendis compte que Onuha connaissait tout de moi. Et que moi j'en apprenait chaque jour sur lui. Il est mon contraire ou plutôt mon complément, sournois cinique et méchant par nature. Lorsqu'il s'énerve et décide de tuer tout le monde sur son passage même moi je ne puis le calmer.

Aprés de long moi d'errance j'ai rencontré un nain du nom d'Alrik. Nous fîmmes connaissance et devîntes ami. Malgré nos disputes incessante et le fait que nous nous chechons sans arrêt, nous sommes très proche. Il me proposa de joindre les Parias. Entendant lh'istoire des membres de ce clan de sa bouche, je me dis que cet endroit serat parfais pour moi.

Je vous ai parlé des longs mois passé à errer sur des terres inhospitalières avant de rencontrer Alrik le nain, qui a fait un court passage dans notre nécropole. Pendant ces quelques moi, j’ai appris à connaître mon double. Il me surprenait tous les jours un peu plus que le précédent, étant mon opposé au niveau du caractère il m’attirai tout en me repoussant. J’ai d’abord chercher a me débarrasser de ce taré (ce surnom lui est rester affectueusement). Pour cela je suis parti à la recherche d’un sage qui pourrait m’aider dans ma tache. Après un long voyage, ponctué par les massacres et diverses séances de torture de Onuha, j’ai trouvé un ermite au milieu d’une forêt. Ce devin m’appris l’épouvantable réalité :

« Tu ne pourra jamais te débarrasser de l’être qui est en toi car il est toi et tu es lui. S’il disparaît, vous partirez ensemble dans l’au-delà. »

Cette révélation me laissa sans voix et je sentis une grande colère s’emparer de mon esprit. Grâce aux dernières fois que Onuha s’emparai de mon corps je compris qu’il n’allait pas tarder à prendre le dessus sur moi. Ce qui se passa ensuite fût l'acte de barbarie le plus horrible que je n’ai jamais vu. Elle aurait même fait pâlir Syla, tellement c’était effectuer avec peu de moyen, mais énormément de passion et de haine. Juste avec ses poings il transforma le vieillard en une masse de chair sanguinolente.
Après ceci je décidais de m’installer à la place du vieillard pour quelque temps. C’est dans ce lieu que j’appris à vraiment connaître le taré qui squatte en moi. Après une longue méditation, Onuha consenti à discuter avec moi. Le dialogue ayant eu lieu dans ma tête est un des plus irréel qu’il me soit arrivé d’entendre :

«- Bon qu’est qu’c’est qui veut l’abruti? (Abruti ou crétin sont devenu les surnom que me donne Onuha.)
- Je veux en savoir plus sur toi, sur ce que tu es ?
- Je suis toi crétin, t’as pas écouter le vieux ?
- Mais comment, si tu es moi, peux-tu être aussi différent de moi ?
- Je ne suis pas différent je suis seulement constitué de tous les sentiments que tu refoule depuis des années.
- Je ne peux pas avoir de tels sentiments au fond de moi ! C’est inconcevable.
- Et pourtant c’est ça.
- Mais tu es complètement taré je ne peux pas te laisser reprendre le contrôle de notre corps tu tues n’importe qui pour n’importe quelles raisons. Hé, je pense à quelque chose je n’ai pas ces sentiments caché en moi, la preuve je ne possède pas comme toi cette amour de la du massacre.
- Ah oui, pourtant lorsque que je ratatinais le vioque, je sentais un sentiment de bonheur en toi.
- Hein…euh…quoi…non, c’est faux.
- Et si c’est vrai ! Tu ne peux pas me cacher tes sentiments… Et, malheureusement, d’ici peu tu devrais pouvoir ressentir les miens même lorsque c’est toi qui contrôleras notre corps. »

Il me dégoûtait et le pire c’est que je savais ne rien pouvoir faire, il fallait donc que je m’en accommode. Je suis resté un mois dans cette cabane au fond de la forêt. Puis je partis. J’avais changer et Onuha aussi. Nous fîmes un voyage long de plusieurs centaines de kilomètres. Le jour, nos activités étaient diverses allant de notre entraînement aux meurtres d’un badaud croisant notre chemin. La nuit nous discutions de notre vie, du lendemain, mais la question qui restait en suspens entre nous deux était comment faire pour cohabiter.
La solution fût trouvé après l’un des plus gros massacre d’elfe perpétré par Onuha. Je m’assis après avoir récupéré le contrôle et je lui ai parlé. Depuis quelques mois je cherchai un moyen d’empêcher Onuha de nuire. Mais je finis par me résigner à l'idée que je ne pourrais jamais le calmer. Donc je lui dis :

« - Onuha, j’ai un marché à te proposer.
- Oui, qu’est qui veut encor ?
- Je te laisse le contrôle la nuit et moi je le garde le jour. Cela devrait t'aller vu les activités auxquelles tu t'adonnes.
Hum, pourquoi pas cela pourrait être envisagable. mais tu ne m'essayeras pas de m'empecher de faire quoique ce soit.
- Tu feras ce que tu voudras… »

Depuis ce jour nous arrivons à cohabiter ou a peu près. Et j’ai honte de le dire mais à force de côtoyer l’autre taré, j’ai beau devant tous faire mon Saint-aure-ni-touche, je sens au fond de moi une impatience croissante à l’idée d’assister au spectacle que va me donner Onuha lors de sa prochaine sortie nocturne….

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