[BG]Ambrose

-quelque part a d'antika-

Attablée dans une taverne . les tenebres recouvrant une
grande partit de son corp, l'homme était attablé et regardait
vivre ses comparses. Des chope recouvrait la table et l'on ne
pouvait idscerné ce qui était liquide ou non. Ambrose
les envoya valdinguer dans revers de manche avant
de beugler : TAVERNIER!! UNE AUTRE!!!

Nul ne s'aprochait de lui si ce n'etait le chien du proprietaire
qui venait voir ce qu'etait cette étrange créature qui sentait
la bierre naine.
Envoyant balader le chiant en le poussant du pieds.
Ambrose tenta de se lever avant de s'écroumer sur son
tabouret.
"Patron! je veut une chambre!"
L'homme en question secoua tristement la tete et s'aprocha
d'ambrose. Il le souleva avec une aisance qui trahissait une
habitude certaine a ce genre de sports. Aprés quoi il l'emmena
dans une chambre a l'odeur de renfermé et le lacha abruptement
sur le lit.

"Le service vous sera facturez demain." Puis il sortit laissant
Ambrose seul avec ses demons.

C'était il y a une dizaine d'année maintenant...Non pas
une dizaine d'année..Il y avit plus de 5000 ans... Et un
beau jour il s'était reveiller dans un monde diriger par les
homme ou ce de sa race n'existait pour anisi dire presque
plus. Ô ce de sa race nexistit plus, les elfe de sang avait été
eradiquer par les premiers empires humains. Et lui pendant ce
temps là il dormait! Oui il dormait tandis que ses freres et
soeurs se faisait poursuivre, tuer, torturer, exterminer!
Et un jour les nains les trahirent! Ce peuple, plus attirer
par les gemme et autres dorure superficielle, avait livrer
son peuple au humain en echange de quelques un des plus
beau filon de pierre precieuses. Comment ce peuple faiblard
pouvait avoir oublier! oublier l'imfamie dans laquelle il c'était
plongé!
Il avait dormi 5000 ans pour decouvrire que les seul elfe qui
demeurait était un peuple different, avec des coutume differentes
et une grande predisposition a la non vioence absolu,
certe il y
avait des exeption mais la pluspart etait d'une lacheté!
Ce qui avait surtout choquer Ambrose a son reveille fut de voir
leur yeux, des yeux d'humains! des yeux dans lesquelle les
ames des ancetres ne coulait pas. DEs yeux aussi vide qu'un
tonneau de nain! AMbrose regrettait ses temps passer, ses
amis et sa promise. Il se trouvait seul lui qui n'avait jamais
connu la solitude, il se trouvait faible maintenant qu'il était
le reseptacle de l'ame d'un peuples entier. Qu'avait il fait pour
vivre cette maledictions? combien meme il avait hercher la mort
il ne l'avait jamai obtenue! les yeux rouge! les yeux rouge
s'emparait de lui et lui donnait la force, la rage et l'envie de ce
battre, de venger ses freres...mais a quoi bon partire en
croisades
contre l'humanité et les hordes de nains? Lui tous seul,
saoule , dans un taverne minable et sans le sous vaincrait
les meilleur armée a lui tout seule? non. Il n'avait pas assez
de haine en lui pour ce lancer dans une tel aventure. Seule la
noirceur des yeux rouge le menait sur les champ de batailles...mais
était ce vraiment cela? n'allait il pas, avant de vivre tous cela,
le premier en des lieux ou tout semblait perdu, dans le seule but
de tuer et de se couvrir d'honneur sur les champs de
batailles?
Oui Ambrose était hypocrite envers lui meme et les autres...Et
sa ne l'avançait a rien de le savoir.

Il est des gens qui affronte le destin tranquillement ,
d'autre en le combattant. Ambrose n'etait pas de cela.
Lui il le fuyait.

Le jour se levait doucement laissant place a une vision
de cauchemar. Les corps , dechiqueter, etait eparpiller
autour de l'elfe blesser. Grand, les cheveux blanc avec
des meches noirs,et les yeux, rouge flamboyant. Il se
releva doucement et l'air assez hagard il traversa
la plaine dans son armure noir au reseau d'argent.
Enfin il s'ecroula devant les corps e ses amis perdue.
Tout un peuple, a jamais massacrer. Une civilisation
balayer de la carte. Devenue en l'espace d'une nuit le
derniers survivantd'un peuple noble et fiere Il ne
voulait croire en ce qu'il voyait. Pourtant l'odeur
de la mort était la pour lui rappeler la realité
de la situations.


Les homme avait lever une armée. Plus grande
que toutes celle qui on jamais foulé le sol de faern.
Et il avait reussit la ou pendant des anées il avait
echouer!

il est des bons sentiment comme de la bonne biere : il sont rare et introuvable.

Les voix et les visages se
mellent les uns aux autres. l'illusion de bonheur qu'il avait aquis
au prix de nombreuses souffrances vacilla et partit en fumer
emportant l'enchantement de ses douces année. son reveil
avait ete brutale. plus encore que son evanouissement.
Il y avait la de quoi empiller des cadavres jusqu'a l'une
des trois lune de faern mais ce qui marqua le pus Ambrose
c'est quil etait le seule debout.

"Reveil toi!!"

"reveil toi!
reveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoi
reveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoi
reveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoi
reveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoi
reveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoi
reveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoi
reveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoireveiltoi
reveiltoireveiltoireveiltoireveiltoi....."


Les parole se faisait litanie, le decor se bousculait. les voix
se fatiguait, s'affaiblissait.


Et ses yeux s'ouvrirent.


L'elfe se leva et une couche de poussiere s'ecroula a ses pieds.
La cabane etait desormais abondonnée au toile d'arraignée
et la poussiere revetant le sol tel de la neige.


"VENGENCE!!!!!Tu est reveiller! Donne nous
le sang..."

-c'est quoi ce delire?


Il sort dehors et ce rend compte que la oret a disparut,
a la place une une ville immense se dressent a quelques
kilometres de la. La cabane toujours cacher dans un
petit bosquet tombe en ruine.

-On dirait qu'il s'est ecoulé 1000 ans depuis mon arrivé ici pourtant je me suis endormi hier.

Dans sa tete les voix continuait a reclamer vengeance.

-C'est quoi ce bordel ! Je me sens perdu tout a coup.

Les année ce succederent encore et ambrose se resigna a sa condition : il avait passer 4000 ans d'une cabane et etait aujourd'hui le dernier de son peuple encore en vie. sa ressemblance avec les elfe d'aujjourd'hui etait moderer par ses cheveux, bla,ncs et noirs et par ses yeux : rouge.

Dans sa tete les voix ce firent de plus en plus nombreuse. petit a petit ambrose devint un assassin, puis au gres du sot il devint tntot poete tantot voleur, heros en quelques occasion il devint surtout u habituer des taverne mal famé et auberge bon marché. parcourant les terres d'argent il arrva un beau jour, deporté par les bon soin de tanaedel comme nombre d'entre nous En ces terre de sarwyen.

Je me presnte, je suis Dely Revhir Hitorien itinerant. je suis el seule amis que cette homme puisse compté en ce bas monde. j'ai longtemps chercher a percer le mystere de ses origine mais j'ai finit par m'interresser a la legende que sucite son arrivé en sarwyen.

J'ai trouvé de nombreuse refernce dans les culture elfes a ccette homme. la plus connue et la plus fiable et celle de Zan Vanyere Le soldat de la mains rouge.

Elle raconte comment un elfe au larme de sang reussit a sauver un ville du nom d'Ambrosinie Avant de dorimir d'un sommeil eternelm attendant que l'on est besoin de lui. On raconte aussi que Netha la deesse du someille en etait tombé eperdument amoureuse et l'avait retenue, l'empechant ainsi de veni secourire son peuple lorsque ce dernier fut attaquer par une alliancemener par les homme et les orcs.

Nombreuc recit sont simmilaire a celui la. On raconte qu'un nommé Greanor, ORc au cheveux blanc et la peau pale aurait aneanti une armée d'humains armée de sa seule hache a lame noire.

Chez les felys on raconte l'histoire d'un sans poile qui dormirait pour l'eternité dans la foret originel celle ou la vie aurait ete cré par Lothea la deesse mere de toute.

Chez les saurus onr aconte l'histoire de l'homme qui pleurait du sang, un compte destiné a apprendre les notion de tristesse au plus jeunes.

Chez les centaure on raconte l'hstoire d'un hybride : un homme-lion qui aurait terrasser les armée les plus puissante des dieux du mal.

Hrp: Faisons table du rase du passé!
a partir de maintenant mes rp seront plus travailler.
hrp/end


La lune se refletait dans la riviere, les passant noctambules
brailler des chant paillard et les jouvencelle
faisait montre d'hardiesse envers les galant
qui les poursuivaient de leurs assiduités.
Le monde continuer de tourner Et Ambrose dormait.

A son reveil il fut intriguer par l'odeur qui semblait s'echaper
du rez de chausée de l'auberge qui l'avait acceuilli pour la soirée.
Prenant son courage a deux mains , l'elfe au yeux rouges descendit
les escalier pour affronter, avec la plus grande stupefaction une scene plustot improbable :

Un Saurus attabler au comptoire parler du griffon
qu'il avait maitriser seule. La tete de la noble bete
etait tristement poser sur le comptoire ou les badeaus
venait l'aprocher. Le saurus Braillait son aventure
avec autant de sens du lyrisme que le cul d'un
dragon en aurait.

ce fut dans cette assemblée qu'eu lieu la premiere
rencontre entre Ambrose et se saurus de saucar.

c'etait assurement une belle colonne.Elle mesurait prés de
deux cents metres de haut et était apparut en plein mileu du
village sans que l'on sache comment. la veille on s'etait endormit
et le matin on la trouver la.

Nul , ne savait pourquoi ou comment cela était etait apparu mais
deja sa commenca a jaser. certain racontait que les dieux dans
leurs
infini bonté avait envoyer un present au village. d'autre, le pretre
avinné du village notament, declarait a tout va que c'etait la de la sorcellerie et qu'il fallait trouver le suppot de satant qui avait permit
cette horreur.

Et comme a son habitude, ambrose dormait.a son reveil il sortit sur
le balcon de sa chambre esperant voire un paysage a coupé le
souffle. lorsqu'il vit la collonne sa premiere reaction fut de se
compter les doigts de la mains, il avait but la veille et croyait
etre encore ivre. Quand il se rendit rendit compte qu'il qu'il
etait operationnelle et que la collonne etait bien réelle il maugra
quelques vague juron elfique avant de ce decider a rendre
son equipement et quitté la ville : sa presageait des ennuis.

C'est tard dans la matinée quand Olrik le bucheron ce decida
a partir dans la foret exercer son art que l'on ce rendit compte
que le village tait coupé du reste du monde. a peine sortait il
du village qu'il en rentrait par un autre bout. Olrik, qui comme
tout les bucheron etait obtus et enteté reessaya de sortir de
multiple fois avant de jeter l'eponge et de rester a la taverne
boire une cuvé de vin frelatée dont le tavernier avait le secret.

Quant a Ambrose il n'essaya qu'une fois avant de frapper le
mur le proche d'un poing rageure : decidement sa ne presagait
rien de bon.

Encore un peu plus tard c'est Lenae, peripatecticienne de son
etat, la seule a vrai dire du village, qui decouvit la premiere le
créature : Elle était partit en quete de client lorsqu'elle apercut
un espece de creature diabolique, ensanglanter, se repetre des
intestins de ce bon vieu olrik qui etait partit se soulager la
vessie derriere la taverne.

Quant a Ambrose il prenait un bain.

Une foix Lenae morte tout el monde dans le village se barricada.
C'est doonc vers midi que l'on se rendit compte que les creature
pouvait passer a travers des murs. la milice du village fut depecher
pour affronter et exterminer les creatures. on se rendit compte que
les lame aussi leur passait a travers. Ce fut donc la milice et non pas
les creatures qui fut decimé.

Quant a Ambrose il commencait tous juste a se raser.

Lorsqu'enfin quelqu'un eu la bonne idée de faire appelle lui
il etait propre comme un osus neuf et n'avait aucune idée de
ce qui se passait , a part la collonne miraculesement apparut
il n'avait rien vut et rien entendu.

Alors Ambrose prit son épée, Lilithe a la lame noire, forger de
metal et de sang de demons. Lrsqu'on lui expliqua qu'elle ne
serait d'aucun utilité il haussa les epaule et sortit de l'auberge.
Il marcha jusqu'a la colonne. A son arrivé Il decouvrit une porte
qu'il ne pouvait voir de sa chambre. A tout hasard il se decida
d'entrer.

Il retrouva donc d'un escalier en colimaçon qu'il se fit
fort de monter.

Aprés quelques 536 marche, qu'il avait compter pour
s'occuper il se retrouva dans une salle circulaire ou l'on
pouvait voire divers instruement cabbalistique. Sortant son
epée du foureau il s'apercut de l'homme en face de lui.

Graend , sorciers fou et malefique etait assis sur un fauteuil et
regardait l'elfe avec un sourire demoniaque.

L'elfe qui avait decider qu'il n'y avait pas de quoi
s'inquiter : les sorcier malefique s'attaquant a de petit village
comme celui la n'etant pas des lumieres et n'ayant pas de réelle
classe ni de réelle importance. degaina son épée et cemit ce
minable petit sorcier en piece. Lorsqu'il lui eut regler son
Compte il redescendit de la collonne.

En bas sles demons s'etait aglutiner autoure de la tour,
emplit d'une crainte soudaine : leur maitre n'etit plus la!
apres avoir murement refechie, et dieu si c'est dure pour
des cretins pareil il se rendirent compte que ce n'etait que
bien vut qu'il aetait libre de semer la destruction
dans tout le pays.

Ambrose quant a lui franchit la porte la lame a la main
et se mit en devoir de trucider le plus de bestiole
possible : sa lame noir etait specialement faite pour
ce genre de cas : l'extermination de demons.

Ce fut tard dans la soirée que tout redevint comme
avant, les villageois etait heureux et le villageoise
aussi.

Et Ambrose pendant ce temps dormait sous un arbre.

Je ne sait pas trop par quoi commencer. Il s’agit la de mon premier texte autobiographique, du coup j’ai l’impression que ma plume et pataude. L’histoire que je vais vous racontez c’est passé il y a plus de 5000 ans. Je revenait d’un long voyage et était allé me reposer dans le domaine de mon père. J’était un elfe de sang parmi d’autre a cette époque la. Les soirs d’hivers je me revois fringuant elfe dont le charme séduisait l’entourage et la vivacité d’esprit déplaçait des montagne.( a l’attention des nain : il s’agit la d’une métaphore. Pour savoir ce que veut dire ce mots demander a plus intelligent que vous…tenez, essayez les trolls.)


L’un de mes ancêtres, le principale fondateur de ma ligné pour être exacte, avait fait construire une bien étrange salle au cœur du château. La dynastie alors fier des rois et des reines du culte de Lostra le dieux sanguinaire, n’avait pas encore établi les règles de construction si strict qui fond de notre architecture moderne une tel catastrophe. La salle était longue de près de dix mètre, large trois. Elle était d’une forme ovale et nul ne savait a quoi elle pouvait bien servire.

C’est dans cette salle que j’avait l’habitude d’organiser les soirée de duel de prose si chère a mon cœur d’adolescent elfique. Un soir, alors que j’avais inviter trois de mes plus farouche frère de prose et que je les avait amener a dégainer leur plume dans cette bataille lyrique qui enchanter le cœur de ses dame plus assurément que les grossier combat de chevalier empestant la sueur et l’hormone male, j’eu l’occasion de voir un spectacle comme jamais je n’avais pu en voire. Vous savez chers amis qu’en des contrés comme la notre ou la magie et omniprésente on en est venue a ne plus rien trouver d’extraordinaire. Et pourtant moi si car devant nous se soir la des puissance tel que jamais nous n’en avions vus avez décidez de ce manifesté.

Ils était a quelque mètre a peine de moi. Le plus petit d’entre eux devez mesurez le double d’un troll. Le plus grand était voûté dans la salle pourtant réputé comme la plu haute de plafond de la régions. L’un de mes amis me tendit la main espérant que mon pincement le réveillerait. Négligeant ce lâche notoire je m’avança au milieu du groupe de géant et m’inclina a la mode elfique.

« Permettez moi de me présenter , Je suis Ambrose Weatherman. Vous etes ici dans le domaine de mon père : Rek Weatherman, Grand générale de l’empire des ombres, en ce moment même partit lutter contre les monarque décadents... que pouvons faire pour vous ? »

Les fabuleuse créature ne me prêtèrent pas la moindre attention, pensez vous je ne devez etre pour qu’une mouche au yeux d’un troll.

Les géants se tournèrent a tous sens pour voir ce qui les entourait. Et mal grés leur énorme taille il semblait tout a fait a l’aise dans cette étrange salle.

Le plus grand d’entre eux sortit un mouchoir de la taille de d’un draps d’ont il extirpa une majestueuse épée…majestueuse pour nous mais pour lui cela devait être put au plus un jouet ,au mois un cure dents. Il la posa délicatement au milieu de la salle puis une lumière vive eu lieu. Et ils disparurent.

Les invitez était rester coi de stupeur. Je m’approchait lentement de l’épée. La prenant dans ma main je la fit danser en l’air fasciner par les reflet d’argent du pommeau sur le noir d’ébène de la lame. Finement ciselez, en lettre de sang on pouvait lire en ancienne rune elfique son nom : Lilithe.

Il m’est aujourd’hui évident que le seul responsable et mon aïeul. Il avait prévu toute mes aventure bien avant ma naissance. Il avait conclu des pacte avec des créature infernal pour me donner les pouvoirs nécessaire a ma charge : je serait celui qui fera resplendire les elfes de sang au delà de la mort. Foutu imbécile qui décida de ma vie sans rien me demander !

L’épée commença a modifier mon comportement. Moi qui n’avait jamais aprecier les armes je devint fine lame reconnue de tous. Moi qui n’aimait que le sang du gigot je devins aussi froid que la mort . et enfin moi dont le terrain de jeu n’était que le lit de mes conquêtes, je devint un guerrier qui allait de champs de bataille en champs de bataille sans jamais craindre la mort. C’est modification de mon comportement venait tel de l’épée ou bien n’était elle que la manifestation d’une force supérieur qui savait la tache que j’allai avoir a jouer ? aujourd’hui encore je ne le sait pas. Mais une chose est sur je n’était pas au bout de mes surprise a l’époque, je ne le suis toujours pas aujourd’hui

Un baiser pour Ambrose

Il surfait, oui il surfait sur l’aile du dragon. Distinguant les écailles sombre unes à unes il se rapprochait de la gueule de la bête. Lentement mais a une vitesse vertigineuse pourtant.

Allonger dans la salle enfumé, le regard perdue dans le vide il savourait cette instant libérer de tout contact avec les « autres ». il aimait ces rares instant ou en lui Le vide ce faisait lui procurant cette solitude voluptueuse ou le monde devenait éther.

Lorsqu’il sortit de la salle il marcha dans la rue, surfant toujours l’aile du dragon. Il voyait la foule mas ne l’assimilait pas. Il marchait , il marchait.

Dans les rue glauque de la ville on pouvait apercevoir des enfants en guenille, des matrones haranguant les passants pour qu’il dépense leur maigres bien entre leur jambes syphilitique. Il voyait de des vieillard estropier au front des jeune gens sans espoirs. Et il s’en fichait. Lui il était grand sur l’aile du dragon.

Il arriva devant une auberge, passa devant des ruelle sombre et s’arrêta. La. En fasse de lui le dragon tendait la gueule.

Une femme cria, des soudard grognèrent. Il commencèrent a la poursuivre.

Ambrose rester au milieu de sa ruelle déserte a admirer les crocs du dragons.

La femme vit un homme, grand et immobile. Il portait une épée a son fourreau. Elle courut se réfugier auprès de lui.

Ambrose vit passa une ombre devant lui. Mais seule comptait Le dragon dont la langue était aussi chaude qu’énorme.

La femme dépassa l’homme et ce dernier resta immobile. Les yeux dans le vague.

Ambrose s’approchait plus prés encore de la gueule du dragon et ce qui l’entourait n’avait plus d’importance.

La femme tomba a genou les larme lui venait au yeux : elle était foutu. Elle vit les soudard derrière l’homme qui était en réalité un elfe.

Les soudard courait il aimait la perspective des plaisirs sanglants qu’ils allai infliger a la femme. Il courait et arrivèrent au niveau de l’homme.

Des éclair noir surgire de la nuits., en arc de cercle autour de l’elfe.

Ambrose Etait la a quelque centimètres de la gueule du dragon, : c’était pour bientôt.

La femme regarda la lame bouger et les corps tomber. Alors elle pleura : elle était sauvée.

Les soudard était morts, aussi vite qu’on écrase une mouche.
Alors la lame pendante au bout du bras, Ambrose sentit le voluptueux baiser du dragon.