Les Rebuts : Déception et Liberté
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

 

 [BG]Cronose

Aller en bas 
AuteurMessage
Cronose
Paria
Paria
Cronose


Nombre de messages : 107
Date d'inscription : 20/11/2005

[BG]Cronose Empty
MessageSujet: [BG]Cronose   [BG]Cronose EmptyMar 28 Mar - 23:14

Il était sur un des banc du village, observant les passants d’un air discret, recouvert d’une longue veste noir finissant par une capuche aux ombres cachant son visage, les gens préféraient le nier, après tout il n’était pas dure a savoir qu’il s’agissait bien de lui, cette fameuse personne vivant dans la foret non loin du village. Seulement quelques gens osaient lui adresser la parole, quelque nouveaux arrivant mais aussi les gens au profession utile pour lui comme aubergiste ou forgeron…

Une fois que les cloches de l’église retentissent pour rappeler qu’il était huit heure du soir, il se leva de ce banc dont seul ses deux prunelles brillantes étaient encore visible. Les gens rentraient chez eux, le soleil se couchait tôt dans ce village et cela se voyait a l’obscurité qui recouvrait déjà le ciel. Les nuages gris déformaient la beauté du ciel bleu foncé en lui donnant un aspect sinistre, la lune étant devenu la dominante sur le soleil ne s’était montrée qu’a moitié aujourd’hui. Les quelques chahut de l’auberge était bien assez bruyant pour ne pas se rendre compte qu’un voleur volait, qu’un violeur violait et qu’un tueur tuait. D’ailleurs, le meurtre était le menu du jour pour cette homme encapuchonné qui avait posés ses dents pointues dans la gorges d’une pauvre femme quittant le village. Ce n’était pas un vampire car il n’avait pas deux canines aussi longue mais ses dents aussi aiguisées qu’une lame de rasoir en faisaient le même effet. L’homme essuya du revers de sa manche le filet de sang qui était resté au bord de ses lèvres et une fois s’être assuré qu’il avait tué la femme en lui enfoncent la pelle d’un fermier au milieu du crane, il quitta le village en retournant dans sa demeure, la foret.

Le domaine boisé dans lequel il était pouvait lui transmettre le moindre son chanté par une personne qui était sur son territoire. Réalisant après quelques reniflements que quelqu’un était rentré dans sa foret, il pointa ses yeux dans la direction de cette odeur, l’odeur d’un homme en parfaite santé vivant heureux avec sa famille. Il s’approchait très vite de l’homme qui n’était pourtant pas tout près et bien qu’il s’était déjà abreuvé du sang de la jeune femme, sa soif de sang n’était pas tout a fait apaisée.
La victime entendit le craquement d’une branche, étant certain qu’il ne s’agissait pas de lui il se retourna instinctivement. Rien, ce qu’il put déterminer en se limitant de son champ de vision pointé droit devant. Il continua son chemin et l’homme encapuchonné continua de le suivre se servant du décor comme matériel de chasse. L’homme se retourna une seconde fois mais cette fois pour une autre raison, il avait aperçus un objet brillant sur le sol, posé sur les quelques feuilles mortes de l’automnes. Voulant le ramasser il venait d’activer un piège et il se retrouva tête en bas suspendu dans le vide. L’homme encapuchonné esquissa un sourire lisible sur ses lèvres, il venait de capturer sa proie pour lui faire subir une mort atroce, la même que toute ses autres victimes.

L’homme cria a l’aide, inutile vu la distance importante qu’il avait parcouru dans la foret.
Le prédateur arriva, observant de la tête au pied ou plutôt du pied à la tête son nouveau jouet. Le villageois ne comprenait pas se regard admiratif, il aurait préféré qu’on le descende de la sans devoir attendre un instant. L’homme masqué s’approcha de celui-ci en lui tenant le bras avec force.

Malgré se petit détail, l’homme attaché lui demanda.

-Merci de me venir en aide, comment vous appelez vous ?

L’homme encapuchonné plongea son regard froid dans celui de sa victime et lui répondit.

Je m’appelle Cronose et de rien pour l’aide.

Sans que l’autre homme n’ai eu le temps d’engager une conversation, l’homme appelé Cronose planta un clou dans le bras de sa victime, qui hurlait à la mort.
Il sortit un maillet à l’apparence grossière et à l’aide de celui-ci il enfonça le clou jusqu'à ce qu’il ne reste que la tête du clou. Sous l’effet de la douleur le visage de l’homme se crispa avec force et tout en gémissent de douleur il demanda avec fureur à l’homme encapuchonnée.

-Argh bon sang ! Vous m’avez bousillé le bras ! Vous êtes vraiment un fou allié !

L’homme encapuchonnée fit comme si il n’avait pas entendu, il avait tellement l’habitude d’entendre le même refrain : injure, supplice, souffrance, …

Il se contenta de retourner à son travail, préparant quelques clous dans le but de décorer l’homme dont le sang avait recouvert tout le bras gauche.
Après l’avoir cloué sur tout les membres, la victime n’avait plus assez de force dans les corde vocale pour poussé des cris de douleurs, plus que des respirations de souffrances a donner de la peine a n’importe qui sauf a son agresseur qui préparait sa deuxième étapes.
Malgré qu’il entamait seulement a la deuxième phase, les feuilles mortes en dessous de l’homme étaient déjà humides du précieux liquide pourpre qui sortait du corps de l’homme encore en vie.

Le deuxième outils était une sorte de pince rouillée avec deux appuies dont le principe était au départ d’écarter deux objets trop solides. Il enfonça le devant de l’outils dans la bouche de l’homme qui respirait à présent par le nez d’un rythme paniqué qui excitait de plus en plus le tortionnaire.

Celui-ci écarta d’un coup sec les deux pinces et la mâchoires du pauvre homme s’écarta d’un craquement à donner des frissons. L’homme trouva la force de ruisseler de larmes et de poussé des respiration saccadées par ses nombreuses blessures. Il avait à présent la bouche aussi large qu’un poing fermé et par se fait, Cronose enfonça sa main dans la gorge de l’homme en ayant prit soin d’enfiler des gants. Il attrapa la glotte entre son pouce et son indexe et appuya de plus en plus fort jusqu'à ce qu’elle éclate ! Laissant encore apparaître pas mal de sang pour divertir le sadique qui était comblé par le spectacle qu'il s'offrait.

Bientôt, les corbeaux étaient les prochains qui allaient pouvoir déguster l'homme qui mourrait, alors que son agresseur n'était plus présent.
Revenir en haut Aller en bas
 
[BG]Cronose
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Cronose
» BG: Cronose
» [Hrp] BG: Cronose
» [DS]Rockwood vs minoard; arbitre cronose

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Les Rebuts : Déception et Liberté :: Archive : Les Rebuts de Sarwyen. :: Le coeur de la Nécropole-
Sauter vers: