Festin de souffrance

[Hrp]

Avis à ceux qui ne suporterait pas la violence, les descritpions anatomiques sanglante poussée, la torture psychologique ...

Aisni que certain alusion à connotation euuu plutôt douteuse.

Ce post n'est pas pour vous

Je vous aurais prévenus.

Je ferai un Hrp plus complet dans la partie adéquate dès que j'en ai fini avec mes sylabus ><

Yan

[/hrp]


La villa « Cabras » est une superbe maison sur le flan d'une falaise bordant s’un lac qui reflète l’habituel ciel dégagé de la région. Le coin est calme et très peu fréquenté si ce n’est par les lapins et les quelques insectes qui anime des frottements de leurs ailes les chaudes soirées des occupant de la demeure.

Le temps y est rarement mauvais et c’est pourquoi son propriétaire s’installe à cet endroit pendant les périodes estivales.
Mais aujourd’hui la tempête gronde, des trombes de glace et de vent tourillonnent en sifflant.
Une ombre noir et floue plane sur la neige blanche, tout aussi inhabituel que le mauvais temps, la présence du sombre personnage n’est que mauvais présage.

Les flocons se heurte à sa peau, mais le froid comme la douleur font partie des choses que cet être ne connaît plus, il ne connaît plus que le désespoir et la colère.

Un fragment de neige se pose sur ses lèvres, mais l’eau comme le vin font partie des choses que cet être ne connaît plus, il ne connaît plus que sa soif de sang.

Ses yeux s’ouvrent, il est l’heure de passer à l’action, la lune est haute à présent.

Une odeur ? Quelqu’un vie ici, quelque chose bouge et respire la mortalité, Saritram le sens, Saritram le ressent.

« Il » n’aurait pas remplis sa pare du marche ? Ce n’est pas la cible … ni ses compagnes … c’est …

Ce sont … des chiens ? Si seulement je vieillissais je pourrais sans doute mettre ça sur le dos de la vieillesse … mais mes traits resterons à jamais les mêmes, je m’inquiète trop… tout se passera bien pour moi et mal pour les autres … comme de coutume.

Les chiens ne pouvaient pas sentir le vampire, abandonnée par la vie il avait perdu toute ces odeurs que portaient les vivants, ses tissus ne se décomposant pas non plus il n’acquis pas celle des morts.

La porte d’entrée s’ouvrit sous les doigts cadavériques du comte, il entra tel un fantôme même si personne ne pouvait l’entendre à présent.

Par terre gisait des gardes et des servantes, plongées dans un sommeil sans rêve, le regard vide de toute expression. Le pion avait donc bien empoisonné toute la maisonnée comme l’avait exigé Saritram. Le vampire resta un moment au rez de chaussé infligeant aux endormis étalé-ci et là dans la résidence d’étrange manipulations.

Puis, doucement, monta les longs escaliers de granite qui menait à la chambre du maître des lieux, il ne fallut pas beaucoup attendre avant que le vampire puissent entendre les cris saccadés qui provenait son objectif.

Le maître des lieux, le saint Patriarche de l’église des lamentations en personne. Cet elfe vivait dans un tel état de richesse et de luxe qu’il ne savait plus quoi acheté au nom de sa foi. Il taxait tant et tant les paysans de ses domaines que sa fortune avait prise des proportions colossales.

Non pas satisfait de se repaître dans le luxe, il s’adonnait aussi volontiers à la luxure … interdisant pourtant tout écart de conduite à ses propres moines… sous peine de castration.

Il était occupé à se préoccupé profondément du bon plaisir d’une charmante compagnie mettant un point d’honneur à satisfaire simultanément l’intimité des deux demoiselles si elles le lui rendaient bien.

Tout trois couché sur un lit de chêne et de soie, le trio s’en donnait à cœur joie.

La première était une humaine rousse plutôt jeune … surtout pour un elfe bicentenaire. Elle était déjà morte … affalée la tête la première entre les cuisses de l’elfe, une lame fine comme un ongle et longue comme un doigt au travers de la gorge. Elle n’a pas su qu’elle mourait et aurait encore moins pu le crier.

La deuxième était une félys qui a vue de vampire ne devait pas être bien nourrie … probablement une esclave. Pourtant elle souriait à son amant d’un sourire qui vous enlève toute volonté, masquant de se même fait l’humaine morte qui au lieu de rependre les fluides corporelles de l’elfe répandait maintenant son sang sur les draps de soie.

Leurs visages étaient prêts à se toucher, à s’embrasser. Mais dans un moment de recule ses yeux se convulsèrent et quand elle ouvrit la bouche ce ne fut pas un cri qui en sortit mais bien la dague de Saritram. La lame avait percée la colonne traversé le palais, déchaussées au passage plusieurs dents et fendu en deux la mâchoire supérieur de la félys. Morte sur le coup elle aussi, la malheureuse vacilla un instant sous les yeux paniqués de l’homme d’église.

Tombant sur le coté, la forme gracile de la félys marquée par la terreur laissa place au propriétaire de la dague qui affichait un sourire plein de bonté et de confiance.

Le visage maculé du sang de la jeune féline, le prêtre restait pétrifié par ce changement inattendu de situation. Il faut dire que passer de la jouissance à l’horreur nécessite quelques secondes d’adaptations. Quelques secondes qui permirent à Saritram de saisir l’un des poignets de sa victime et d’y enfoncer un pieu de bois. Le morceau de saule traverse les tissus, brise l’os, pénètre plusieurs veines et laisse d’innombrables échardes prisonnières dans l’avant bras.

Le Patriarche crie, non il hurle … toute son énergie et son sang passe en un instant de son bassin à son visage. Ses yeux s’exorbite tellement la douleur est forte, surtout quand le deuxième pieux viens faire de même avec son second poignet. Le voila prisonnier de son propre nid de plaisir… plutôt étrange quand on sait qu’il est devenus en quelques secondes son chevalet de torture

Saritram connais sont travail, les pieux sont placé juste ou il faut pour que le sang ne coule pas trop … après tout c’est un vampire, qui peu mieux connaître que lui les secrets du système circulatoire ?

Ne nous étendons pas sur les cris du malheureux, il hurle, il pleure, il gémit, insulte, râle, bave, et supplie … bref il est torturé … rien de bien passionnant… se sont tous les même. Concentrons-nous sur le bourreau qui lui fera preuve de plus d’originalité.

Dieux que vous êtes laid quand vous criez monseigneur. Gardez donc votre souffle pour la suite … je n’ai même pas encore commencé.

D’une main agile, Saritram sort de sa tunique des morceaux de métal indistinct qu’il plonge dans l’un des lourds flambeaux qui illumine la pièce.

A l’aide ! … A l’aide … je vous con … conjure de venir à mon secours !

C’est vos serviteurs que vous appelez ? Je doute qu’ils puissent venir jusqu’ici malheureusement pour vous mon cher.

Dans un regard remplis de frayeur, le saint père tourna son attention vers Saritram pour comprendre le sens de ses derniers mots.

Mais ne vous faites pas de soucis mon ami, regardez …

Dit-il d’une voix gentille et compatissante.

… ils ne sont pas venu en personne mais j’ai pris soin d’apporté un petit peu de chacun.

Rassura Saritram en sortant un sac un bocal de verre dans lequel marinait une vingtaine d’oreilles coupée sanguinolent dans un liquide verdâtre.

Assurément ils se souviendront de cette nuit.

Un bruit, un souffle. Quelque chose à bougé dehors ? Les chiens … encore ? Non ils se sont étonnement tenu tranquille depuis un moment…. Quelque chose vient par ici … quelque chose se déplace … ça n’est pas un chien.

Saritram saisit alors sa dague encore fiché a l’intérieur du crâne de la félys (provoquant par ce fait la fracture de plusieurs os encore entier, plutôt désagréable à entendre) … prend soin de lécher le sang qui y reste et attend alerte d’un air grave que ses sens rapprochés lui indique qui ose interrompre son bon plaisir.

Personne ne l’empêchera d’offrir un mort sale longue et douloureuse au patriarche de l’église qui à fait de lui se qu’il est aujourd’hui.

[Hum... On m'a piqué mon intro ^.^ Désolée pour les fautes s'il y en a, ce que je pense vivement Vouala! C'est pas aussi long x'D ]

20 heures pile… Elle finit son verre, sa pinte de bière, elle se lève et d’un pas décidé paye son repas du soir. Elle prend sa petite besace, ou dedans loge l’instrument de torture nouvellement acquis. Elle sort de la taverne, elle longe les murs, évitant avec insistance le regard de la milice environnant. Il la cherche… Mais ils ne savent pas… Elle tourne, empreinte le chemin qui mène au flanc de la falaise, la ou est sa ‘proie’. L’ombre arrive enfin au lac gelé…

Les tourbillons de vent qui font voler ses habits et ses cheveux feu l’énervent. Le temps est froid… Elle n’aime pas l’eau froide, ni la neige, et encore moins ses tempêtes incessantes… Le félin gagne rapidement la demeure du sire. Elle s’abrite dans le feuillage d’un arbre. Elle regarde son instrument, le fixe avec un délicieux sourire sadique.

Cet olibrius va me le payer… Alors comme ça l’hérétique qui tue n’est autre qu’une lâche… Il va voir Sha le patriarche…

La lune est haute et le lion est prêt. Shariel descend de l’arbre, besace sur l’épaule, et elle regarde l’horizon. Les chiens vont vite la repérés… Elle sort de sa poche une simple dague, pas très grande, assez pour trancher la gorge d’un cochon. Shariel entreprend la marche vers l’entrée de la villa, bien luxueuse…

Un gros chien au pelage noir approche, il grogne, montre ses crocs de nacre qui ne font pas peur au félin. Shariel, d’une rapidité féline et d’une force normale (bah vi, c’est pas une héroïne mon Sha, juste une spycopathe :p) pour trancher le gorge du chien qui gémit. Elle plante alors la dague dans sa tête, comme pour achever la bête. Les autres se ramènent.

Le sang du premier tâche la neige… Blanc… Shariel fait de même pour tous les chiens… La neige se tâche en différent endroit, mais Shariel est blessée… Ayant raté l’un des chiens, celui-ci lui croqua sans remord l’avant bras trop bas… Shariel regarde la plaie, elle saigne. Elle esquisse une petite grimace en touchant la plaie, mais elle sent déjà un regard se posé sur elle. Elle fuit la scène de petite tuerie gratuite.

Elle monte rapidement les marches, pousse la porte et se trouve en face a plusieurs bains de sang. Elle regarde rapidement les corps, ils sont juste entaillaient au niveau de la tête.

Hum… Plus d’oreilles…

Shariel pousse un corps, il tombe à la renverse, mais ne se relève pas… Shariel regarde dans sa besace, l’instrument n’est pas abîmé. Mais quelqu’un a était plus rapide que le félin, et ça l’a agacé. Elle prend la dague et l’essuie d’un doigt. Elle porte celui-ci à ses lèvres et en colorie celles-ci… Elle esquisse un sourire, oubliant son propre sang tâchant sa fourrure.

Elle prend la dague et l’enfonce dans le ventre d’un des hommes debout. Les femmes ne l’intéressent pas… Elle rentre sa main dans la cavité ensanglantée et elle en sort un organe, une rate, déchirant au passage l’estomac, et creusant le diaphragme. La rate ensanglantée dans la main de Shariel était…

Shariel se dirigea alors vers la chambre du patriarche, la rate d’une main, la dague de l’autre… Elle se fondit dans l’obscurité, sa pupille s’affinant, ses griffes sortent et un sourire mauvais déformant son minois serein… Elle sera un peu plus sa dague, longeant le mur, et jeta un coup d’œil dans la pièce…. Personne…

Shariel se glissa dans la pièce et aperçut une félis ensanglantée, et une rouquine aussi… Shariel soupira, trop tard… Mais la patriarche le regarda horrifié, j’étiré un sourire étonné.

Que vous arrive t'il ? Vous n'êtes pas encore mort ?

Dit elle, un petit sourire machiavélique, ayant une sensation… Une étrange sensation, celle d’être observé.

Bon, en attendant ton ami qui vous a fait ça, dit elle en montrant d’une griffe blanche les pieux, je vais vous trépané lentement ! Vous avez de la chance, vous êtes le premier a testé mon trépan !

Elle s’abaissa pour prendre son trépan dans sa besace quand quelque chose bougea. Elle resta figea… Qui ? Quelqu’un ? Le félin siffla… Son pelage s’hérissa, et un sifflement mécontent sortit de ses lèvres cramoisies. Shariel resta courbé, commençant à être agacé par le jeu de quelqu’un…

Caché dans les ombres des flames qu'illuminais les flambeaux Saritram songeait à se qu'il venait d'entendre. Sa mains droite carressait doucement les minuscules morçeaux d'acier qui lui servaient à tuer rapidement et sans bruit.

Mais celle qui était rentrée dans la pièce n'était pas un simple spéctatrice de son oeuvre, elle aussi faisait partie des acteurs du jeux. Elle ne méritait pas de mourrir maintenant, comme ça et si rapidement.

Il surgit alors de nul pare, les pied en premier, arrivant droit dans le ventre de la jeune félys afin de lui couper le soufle quelques minutes et la tenir éloignée de sa cible.

Je ne sais pas qui vous êtes ... mademoiselle... une servante ... une autre esclave sexuel peut être ? Mais se qui est certain c'est que vous vous y prenez comme un manche.

Lui dit il le regard dénudé de la pseudo-gentillese dont il faisait pare au patriarche.

Ceci.... montrant du doigt le trépan de Shariel. Est un appareil médical, pas de torture.

Dans un soupire il continua sans la regarder dans les yeux.

Le cerveau ne contient aucun nerf de douleur ... pas un seul. Au mieux vous ne ferez que le rendre fou.

[Hrp]

Authentique ... le cerveau n'a pas de nerf de douleur j'ai vu ça en Neurophysio cette année ^.^

[/hrp]

Rangez donc votre jouet ... mademoiselle. Regardez la suite et prenez-en de la graine.

Termina t'il en retournant près de l'elfe toujours gémissant sur sont lit. Il commença alors une sorte de monologue ...


La dague se pose sur le visage et glisse aux frontières de la joue et de l'oreille puis passe sur le front lentement. Ensuite redescend vers l'autre coté de la joue avant de tomber sur le menton. Puis, pour finir elle remonte vers la première incision.

C'est maintenant que les choses deviennent intéressante. Doucement... très doucement.



Dans un tonnerre de hurlements suraigus, Saritram avait saisi la peau de l'homme d'église et tiré sur celle-ci pour arracher le visage du malheureux. Restait alors sur le lit un homme dépourvu de nez de lèvre et au restant de visage maculé de sang.

Le seul problème dans ce genre de pratique, reste que le visage est un endroit du corps qui saigne abondamment ... si l'on ne fait rien notre ami risque de mourir dans les 5 prochaines minutes.

Expliqua Saritram en plongeant le restant de visage dans son bocal.

Heureusement j'ai apporté de quoi prolonger notre séance.

Dans un geste rapide il plongea sa main dans le flambeau et en ressorti un des morceaux de métal qu'il avait fait rougir. La couleur de sa peau passa du blanc laiteux au brun et se parsema de cloques. Ensuite il posa le masque de fer incandescent, qu'il tenait entre les doigts, sur le visage de l'elfe qui n’était que blessure.

Les plaies se cautérisèrent en un instant et le sang qui avait commencé à coulé à flot fut stoppé net. Saritram saisit l'une des deux morte pour leur prélevé le peu de sang encore frais qui devait leurs resté et en quelque minute sa main calciné redevint aussi belle et souple que peux être les mains d'un cadavre.

Votre nom.

Termina Saritram en s'adressant à Shariel, les trais déformé par le dégout que lui inspirait le fait de boire du sang froid.

Shariel ne bougeait pas, essayant de capter la moindre odeur, le moindre geste, ses oreilles droites. Mais rien que l'odeur du sang ressortait de cette pièce. Elle reçut un coup aperçut trop tard. Son souffle fut coupé, comme beaucoup de fois auparavant. Elle resta de marbre, ayant reculé de quelques pas sous l'impact. L'homme devant elle n'avait rien des maigrelets et hommes laids qui tuent. Le persécutant du regard, la queue faisait office de balancier.

'Je ne sais pas qui vous êtes ... mademoiselle... une servante ... une autre esclave sexuel peut être ? Mais se qui est certain c'est que vous vous y prenez comme un manche.'

Shariel resta ici, une sorte de colère la rongeant sans jamais ressortir. Elle ne répondit pas, trop en colère pour répondre. Car si elle l'aurait fait, ça s'aurait finit avec des coups de griffe et des sifflements. Il n'avait aucune gentillesse, pas de peur, rien. Et elle, plantée la, un trépan dans la main, le souffle reprenant possession de ses poumons. Mais elle finit par marmonner une chose ncompréhensible sauf pour les fines ouïes.
'Rien... Rien... Assassine'
'Ceci.... montrant du doigt le trépan de Shariel. Est un appareil médical, pas de torture.'

Il soupira, évitant le regard du chaton agacé. Comme-ci elle était ignorante!!

'Le cerveau ne contient aucun nerf de douleur ... pas un seul. Au mieux vous ne ferez que le rendre fou.'

Shariel s'était juré de ne jamais dire a quelqu'un se qu'elle voulait faire d'une victime... Mais dans ce cas-ci, la première étape aurait était de le trépaner, pour le rendre assez fou, et la deuxième versait quelques petites bébêtes carnivores qui se seraient amusés. Mais l'homme devait avoir une autre idée en tête, laissant Shariel agacée.

'Rangez donc votre jouet ... mademoiselle. Regardez la suite et prenez-en de la graine.'

Shariel regarda, vexée, l'homme. Un jouet?! Elle avait mis presque huits personnes a mort, huits médecins, pour récupéré ce foutu, jouet?! Prenez de la graine?! Le chaton en avait plus que marre de ce quidam qui se croyait mieux faire qu'elle. Ses griffes sortirent, en toute inconscience. Elle tapotait le sol avec sa patte droite, battant une mesure qui n'existait sûrement pas en musique.

Le fou d'en face parlait a la victime comme elle l'aimé. Voila ce qui était intéressant. L'humain était assez sadique pour qu'elle apprécie son travail. Faire souffrir... Les cris... Tous ça n'était que pur plaisir...

'La dague se pose sur le visage et glisse aux frontières de la joue et de l'oreille puis passe sur le front lentement. Ensuite redescend vers l'autre coté de la joue avant de tomber sur le menton. Puis, pour finir elle remonte vers la première incision.

C'est maintenant que les choses deviennent intéressantes. Doucement... très doucement.'

Il tira violement et elle regarda le visage. Que c'était beau! Un vrai chef d'oeuvre! Elle fixa l'humain, il n'avait pas tord, ça pissé le sang... Et pas qu'un peu... L'homme était au bord de l'évanouissement. La peur, ça fait tourné la tête! La queue du Shariel, ou du moins la boulle de poil à l'extrémité, remuait de bonheur.

Il posa ce masque de fer et le sang de l'elfe ne coulait plus. Peut être que le sang avait coagulait au niveau des plaies... Où peut être autre chose... Shariel s'en foutait un peu au fond, elle fixait les mains de l'olibrius qu'elle avait pris pour humain jusqu'ici... Aucun humain ne peut résisté, même Shariel n'aime pas ses chaleurs intenses...

Mais, Shariel, ne le quittant pas des yeux, le vit mordre. Shariel le regarde, et esquissa une mimique animé du dégoût. Elle aimait le sang, mais pas les vampires. Et les voir boire était l'assurance de la dégoûtait... Trop d'histoire avec ses êtres abjectes et sans parole pour l'apprécier, lui.

'Votre nom.'
'Vous n'avez pas besoin de le savoir'

Répondit elle, avec tact et presque aussitôt. Pas un mot sur elle ou sur son entourage ne devait sortir. Son entourage avait trop longtemps était touché a cause de ces fautes trop futiles... Elle jeta son trépan dans sa besace, casant une fiole de fourmis rouge...

Elle passa sa patte dans ses cheveux, cette nuit, feu. Lui n'avait rien de très beau pour un homme. A par ses muscles, son teint de mort et ses yeux ne rattrapaient rien... Shariel s'avança jusqu'au lit et s'assit. Elle ressentit une vive douleur, un picotement qui lui fit rappeler les chiens de dehors... Sales bêtes...

Elle marmonna quelque chose qui ressemblait a ça:
'Shaleté de chiennnns'

Puis, se rappelant le visage du prêtre qui avait tué sa sœur, récemment, elle tapa violement le buste de l’homme, au niveau du cœur. Elle aurait voulu continuer, mais non, pas de bonne idée devant l’autre.

‘Et vous ?’

Elle frictionna sa blessure a l’avant bras, sans vraiment sentir de douleur, n’esquissant que le froid sur son visage de marbre.

Saritram laissa l’homme allongé quelque seconde et se retourna enfin vers Shariel pour la regarder dans les yeux et mieux examiner cet intrus.

Vous n’êtes peut être pas si idiote que vous en avez l’air.

S’approchant ensuite près d’elle il poursuivra.

Il y a peut être sous tout ces poils et cette sottise un certain … potentiel …

Mais vous avez besoin d’un tuteur si vous voulez survivre à votre jeunesse.

Non … pas moi.

Dit il avec un sourire méprisant.

… je travail seul et vous êtes loin de mériter mon enseignement.

Mais il y a un homme … un Saurus pour être précis qui pourrait vous donner un certain apprentissage.

Interrompant Shariel il poursuivit en enfonçant l’un de ces longs doigts dans sa plaie.

Ne me dite pas que vous en avez pas besoin ! Il n’y a qu’une débutante pour se faire avoir par de simples animaux de compagnies …qu’une débutante pour exposé ses faiblesses à un inconnu !

Ensuite il retira son doigt et porta celui-ci à sa bouche. Son air satisfait était simple à comprendre il appréciât beaucoup son goût.

Il y à aussi Ely … Dit il avec un sourire amusé. Elle se ferait un plaisir de vous apprendre tous les moyens de m’étriper.

Puis il se retourna vers l’elfe et saisis l’une de ses petite pince d’acier qu’il cachait dans sa tunique et l’inséra dans la fente qui laissait la bouche du malheureux ouverte. Saritram arracha les incisives et les molaires les unes après les autres. Le sang gicla encore et encore chaque dent terminant elle aussi dans le bien macabre bocal posé sur la table de nuit.

Voyons, vous n’êtes quand même pas venue ici pour rester par terre n’est-ce pas ? Levez vous et montrez-moi que vous êtes capable de … prouver à cet homme que les félys ne sont pas uniquement bon comme esclave sexuel.

Si vous arrivez à m’impressionner … je vous offrirai même de quoi payer vos tuteurs.

Termina-t-il en s’assaillant dans un siège de la chambre avec un sourire mauvais.

Et si vous le tuez trop vite … c’est moi qui vous tue.

Shariel ne regardait pas Saritram, ni ce qui ressemblait à la bouche de l’elfe, fixant le vague… Pourquoi ne pas la tuait ? Il cherchait a l’énervait, a la faire devenir comme elle l’était. Mais le conflit intérieure était plus grand, pas un simple collier… Sa n’aurais été que trop facile. Elle sursauta quand il ajouta :

Voyons, vous n’êtes quand même pas venue ici pour rester par terre n’est-ce pas ? Levez vous et montrez-moi que vous êtes capable de … prouver à cet homme que les félys ne sont pas uniquement bon comme esclave sexuel.

Si vous arrivez à m’impressionner … je vous offrirai même de quoi payer vos tuteurs.
Et si vous le tuez trop vite … c’est moi qui vous tue.

Esclave sexuel ? Il avait le don pour énervait le Sha et la mettre en condition de tuer… Shariel ne voulait pas de la ‘bourse’ du vampire, ni de tuteur, et encore moins de lui prouver quelque chose. Elle n’avait aucune raison de lui prouver quelque chose, et n’avait aucun comte à lui rendre. Cet homme avait beau être quelqu’un d’exceptionnel plan tuerie ou torture, il n’avait rien d’autre…Mais la dernière partie la laissa de glace, elle lança au vampire au mauvais regard, un regard noir et vide d’expression, comme s’il appartenait a un mort…

Elle prit sa besace et la mit sur le lit, sortant de celle-ci des instruments divers. Scalpel, étoile, clous, et d’autres choses des plus intéressantes. Elle prit les étoiles et en planta trois au hasard sur le corps de l’elfe qui rugit de douleur. Elle esquissa un petit sourire, ce n’était que le début. Sa queue en balancier remuait de bonheur et d’excitation… Le goût du sang, les cris de douleur, les sanglots, les suppliassions. Tant de chose qui donnait à Shariel l’espoir qu’elle n’était pas finit, et qu’elle avait un avenir dans ce monde…

Elle laissa ses cheveux tombaient sur ses épaules, lui arrivant au niveau des hanches. Ses yeux étaient fixés sur le scalpel avec lequel elle tailladait gentiment la poitrine de l’elfe qui hurlait de plus en plus fort. La enfin, elle se sentait vivre, être quelqu’un qui importait, se sentant forte d’un sens… Pas comme la bas… Pas comme avant… Puis, le spectacle était des plus raffolant sachant que le vampire était derrière.

Elle prit son trépan a terre et le lança sur la terre de l’homme, il retomba, et elle sourit. Il saignait d’un peu partout, rien de bien méchant, mais douloureux. Elle prit alors un bout de bambou a la couleur or et le coupa en fine rondelle. Elle s’assit sur le lit de l’elfe, lui prit la main, et enfonça les fines rondelles entre le doigt et l’oncle de l’elfe. Elle s’amusait, mais l’elfe bougeait, ce qui l’énerva. Elle tapa violement au niveau de la poitrine, touchant évidement les quelques plaies ouvertes.

Ayant fini sa petite expérience, elle décida de le désosser. Cela faisait déjà quelques temps qu’elle ne l’avait pas fait…Elle prit d’abord la main, puis, la pella comme l’on pelle un fruit, râpant violement la peau de l’elfe qui bougeait comme un dément. Quand elle eut fini, elle attaqua l’avant bras… Cela saignait, mais elle avait déchirait le bas de sa tunique pour la serrer au niveau du moignon. Elle regarda le vampire en souriant, ses mains ensanglantées :

‘Vous vous ennuyez ?’

Saritram regardait avec gravité la félys. Elle se débrouillait plutôt bien, malgré sont arrivée un peu légère.

Peut être l'ai-je sous estimé ? Songea-t-il.

Sans laisser ses pensées paraître sur son visage, Saritram s'approcha de la félys et déposa ses fines mains de médecin sur les épaules de Shariel. Se qui aurait pu commencer en massage laissa place à la stupeur. Les deux mais du vampire était à présent à la base du coup de la jeune fille, cernant de ses doigts une partie dure de son anatomie.

Les clavicules.

Lui dit-il d'un ton sobre.

Vous connaissiez sans doute ces os, mais vous ne semblez pas savoir qu'en les prélevant dès le début vous limité ainsi les mouvements du sujet. La douleur est telle qu'il n'ose plus bouger toute la partie supérieure de son corps.

Il lâcha Shariell et poursuivit.

C'est une opération difficile car vous risquez d'atteindre les nerfs des bras et de lui privé ainsi de toute sensibilité à ce niveau.

Voir pire ! Si vous êtes trop maladroite vous risquez même de couper la jugulaire.

Dit-il en souriant, se moquant visiblement de la félys.

... mais c'est pourtant indispensable quand ...

Dit-il en aillant un geste dédaigneux vers la fourrure de Shariel.

... on est de si frêle de constitution. Parfois il vaut mieux être douée et maligne que simplement assez forte que pour immobilisé sa victime. Et puis vous créer ainsi un nouveau centre de douleur permanant … sans parler de la douleur psychologique de perdre deux os, bien entendu.

Termina-t-il en s’agenouillant à coté du lit pour que son visage soit à coté de l’homme masqué.

Finalement, malgré la présence de …

Prononça t’il lentement pour qu’il puisse bien comprendre et en montrant de ses fines phalanges la félys.

… mademoiselle, nous allons peut être nous amusé malgré tout.

Dit-il avec un sourire mauvais.

Continuez maintenant.

Marre... Je regarde l'elfe. C'est pitoyable, ces créatures n'ont aucun sens de l'amour propre. A sa place, j'aurais hurler, je me serais débattu pour donner du plaisir au bourreau... Mais il s'éteind peu à peu... Lentement ses yeux se ferment... Bientôt, cet être meurtri mourra, et s'en m'en avoir donné satisfaction...

Pourri! Mais soudain, je sens des mains glacés sur mon pelage quis 'hérisse en un rien de tant. Voila que le vampire me fait un sermon... M'enfin, je n'écoute pas, il meurt, j'vais pas m'embêtais a lui enlever ses cervicales pour si peu de temps... Le vampire, son visage froid et glacé, observe l'elfe...

Pitié, voila ce que je ressends, je ne devrais pas, mais voila, c'est comme ça. Au fil du temps, le plaisir est plus dur a trouver, et là, je n'en n'es lus... Je me dirige vers son poignet et décroche le pieu, je m'en vais vers son autre poignet, marchant sur le corps de l'elfe, évitant de regarder le vampire... Ou simplement d'approcher ses crocs.

J'ai deux pieux, un pour l'elfe, l'autre pour? Non, je n'y pense même pas... L'aube pointe son nez, le vampire mourra de façon naturel s'y l'on s'attarde... Je pose les pieux sur le lit tâché de sang. Je regarde une dernière fois l'elfe, et avant qu'ilne s'endorme, je plante mes griffes dans son front, et tire violement sur le masque de fer.

C'est dur! la peau se décolle très lentement, et je suis... Pas très costaute! Je tire et c'est bon, le masque est décollé. Je le tend au vampire, le regardant, fixant ses yeux blancs et sans plus aucun pupilles:

"C'est à vous, peut être le voudriez vous pour une prochaine fois?"

je pose le masque près de sa main, sur le lit. Evitant de touché sa peau... Morte. Je prend les deux pieds, je posionne l'un des deux pieux dans une cavité oculaire. L'autre aussi. Puis, me mettant a cheval sur l'elfe qui ne voit plus rien... En vue que ses yeux sont sûrement... Restés colés quelque part! Je pose mes pattes sur chacun des pieux, et je soupira.

"Pardon, mais vous voyez.. Eu, non, c'est vrai! Rejoingnez votre dieu qui ne vous entend pas ou qui n'existe pas... Paix en votre âme!"

D'un coup, je pousse les pieux. Un dernier gémissement, il est mort... Je soupira...

"C'est fragile ces êtres, ça meurt trop vite..."

Je sors de sur le cadavre et épousière ma jupe. Nyahh! Que ces sales! Faudra la laver ce soir... je relève le regard et regarde le vampire. Quel sera sa réaction? Va t-il me tuer? Si oui, j'espère vraiment avoir 9 vies...

(J'ai oublier, au niveau de la nuque, ce ne sont pas les clavicules quis e trouvent a la cheville, mais les cervicales )